-Pour Lionel Dolciani, porte-parole de L’Union pour Cagnes, « Majorité et opposition, on veut tous la même chose, seul le chemin pour y arriver diffère entre nous ». « Lors du débat d’orientation budgétaire, nous avions émis des propositions quant à la nécessité de préparer la ville de demain plutôt que de subir les changements, mais vous n’en avez pas spécialement tenu compte. Cagnes doit à son tour payer une pénalité de 550 000 euros au titre de la loi sur les logements sociaux. Nous devons travailler ensemble pour que la commune et ses habitants n’aient plus à payer ces 550 000 euros ».

-Pour Philippe Touzeau-Ménoni, également membre de L’Union pour Cagnes, « le budget est présenté avec sincérité, mais il est forcément insincère du fait des incertitudes sur le montant des dépenses et des recettes, incertitudes dues à la situation actuelle.Il faudrait aider davantage les commerces de proximité, qui sont en difficulté. Par ailleurs il faudrait embaucher des policiers municipaux. Et le nombre de PV de stationnement (FPS) augmente de façon inquiétante».

-Pour Josy Piret : « A part quelques mesures où nous sommes complètement d’accord avec vous, les mesures de soutien aux commerçants par exemple, notre liste L’Autre voie n’a pas du tout les mêmes orientations, par exemple votre construction d’immeubles effrénée. »

-Pour Jean-Paul Pérez, chef de file du Rassemblement national à Cagnes, « La ville est en insécurité, l’attribution des logements sociaux n’est pas satisfaisante, la politique de construction est débridée ».

-Valérie Gorzegno, membre de L’Union pour Cagnes qui a voté pour le budget municipal, n’a pas indiqué les raisons de cette décision pendant le conseil municipal.

(Photos captures d’écran)