Découvrez l’exceptionnelle exposition Mossa avec une visite commentée gratuite
Connaissez-vous la « Joconde niçoise » ? Et Gustave Mossa ? Profitez des derniers jours de l’exposition que lui consacre le musée des Beaux-arts de Nice. Elle se termine le dimanche 15 mai. Ce jour-là, l’association D’encre et d’Azur vous propose une visite gratuite de l’expo à 16h. Cette exposition permet d’admirer des oeuvres qui ne figurent pas dans la collection du musée (pourtant très importante), et qui lui ont été prêtées pour cette occasion.
Mossa, grand peintre méconnu
Enfant de Nice, Gustave Mossa a succédé à son père à la tête du musée des Beaux-arts de Nice et a été un des carnavaliers les plus fameux de la baie des Anges. Sa virtuosité impressionne. Il mêle et détourne de façon unique mythologies et inspiration biblique.
Mais il est surtout un grand peintre de dimension nationale et internationale, « dynamiteur du symbolisme », surréaliste avant l’heure, à la frontière de la psychanalyse, précurseur et toujours actuel. (Ci-contre, un des ses autoportraits)
Visite commentée gratuite, et entrée gratuite si vous habitez une commune de la métropole avec la carte des musées (gratuite elle aussi)
Entrée gratuite ou à 10 euros : si vous êtes niçois.e ou si vous habitez une commune de la métropole Nice-Côte d’Azur, l’entrée est gratuite avec la carte des musées niçois, qui est elle-même gratuite et que vous pouvez faire établir sur place mais il faut présenter votre carte d’identité et un justificatif de domicile de moins de trois mois. Sinon, l’entrée du musée plein tarif est à 10 euros.
La visite commentée de ce samedi 7 mai, elle, est gratuite.
Svp inscrivez-vous par mail à l’adresse : contact@dencreetdazur.org
Rendez-vous : à 15h45 au musée des Beaux-arts (= musée Chéret), 33 avenue des Baumettes à Nice.
Stationnement : il y a des parkings au pied du musée, en bas de la rue Renoir, qui donne sur l’avenue de la Californie. On peut accéder à pied au musée à partir des parkings.
Ci-contre : « Elle », un des plus célèbres tableaux de Gustave Mossa.